L'info éclair d'Isabelle

Plaques minéralogiques : la Nosta Family remonte le fil de l’histoire

5 septembre 2025 | 4 min 10 sec

Ce matin, Isabelle et Olivier ont parlé… plaques d’immatriculation ! Entre messages d’auditeurs amusants, explications historiques et anecdotes insolites, la Nosta Family a éclairé l’origine du terme « plaque minéralogique ».

Dans la bonne humeur habituelle, la Nosta Family s’est intéressée à un objet qu’on croise tous les jours sans trop y penser : la plaque d’immatriculation. Les auditeurs ont été nombreux à partager leurs anecdotes. Serge, par exemple, a confié que sa plaque contenait « KFC », ce qui amuse beaucoup ses proches. Olivier, de Gottignies-le-Roi, a lui hérité des lettres « DRH » : « Dommage que je ne puisse pas adapter mon salaire ! », plaisantait-il dans son message vocal.

Mais au-delà des sourires, Isabelle et Olivier ont ouvert une parenthèse historique passionnante. Pourquoi parle-t-on aussi de « plaque minéralogique » ? La réponse nous ramène au XIXᵉ siècle. À l’époque, c’est le service des mines qui était chargé de délivrer les premières plaques. Les véhicules à moteur, considérés comme des machines dangereuses, devaient passer une visite technique auprès de cette administration. De là vient le terme « minéralogique », resté dans l’usage courant bien après la disparition du service.

Les premières plaques belges, apparues en 1925, étaient noires avec six chiffres blancs. Dans les années 70, les combinaisons lettres et chiffres se sont imposées, avant de changer encore au fil du temps. Depuis 2010, le format actuel commence par un chiffre suivi de trois lettres et trois chiffres. Un détail amusant : la plaque numéro « 1 » est réservée au roi, un vrai « number one »… même si, comme l’a glissé Olivier en riant, « on ne l’appelle pas Justin Leroy ».

L'info éclair d'Isabelle
Plaques minéralogiques : la Nosta Family remonte le fil de l’histoire
00:00
00:00