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C'est la rentrée ! Top 10 des meilleurs films à l'école

Que vous étiez premier ou dernier de la classe, ces films vous rappelleront forcément de jolis souvenirs d’ancien élève…

Les Sous-doués passent le bac (1980)

Les élèves d'un cours privé tentent de décrocher leur baccalauréat sans se fatiguer.

Le Maître d'école (1981)

Gérard Barbier était vendeur de vêtements. Licencié parce qu'il a défendu un enfant surpris en train de voler des bottes, il décide de devenir instituteur. Une fois à l'école, il prend conscience que ce métier d'instituteur n'est pas tout à fait comme il pensait...

Breakfast Club (1985)

L'histoire, concentrée en une journée, se focalise sur la rencontre et les interactions de cinq lycéens envoyés en retenue.

P.R.O.F.S. (1985)

Jeune professeur de lettres, Frédéric Game a des méthodes très cool qui tranchent avec les habitudes du lycée dans lequel il vient d'arriver. 

Le Cercle des poètes disparus (1989)

À l’automne 1959, aux États-Unis, Todd Anderson commence sa dernière année d'école secondaire à l’académie de Welton, une école préparatoire pour hommes exclusivement composés d’élites.

Opération Shakespeare (1994)

Bill Rago, brillant publicitaire, se fait virer après avoir raté un énorme contrat pour sa boîte. Bill reçoit alors une proposition d'enseignement dans une école militaire. 

Esprits rebelles (1995)

Ce film est basé sur l'autobiographie de LouAnne Johnson, ancienne US marine engagée en tant qu'enseignante à l'école secondaire Carlmont en Californie en 1989. 

Le Plus Beau Métier du monde (1996)

Laurent Monier, professeur d'histoire-géographie dans un paisible lycée de province, accepte un poste dans un collège sensible de la banlieue parisienne. 

Les Choristes (2004)

Clément Mathieu, professeur de musique sans emploi, accepte un poste de surveillant dans un pensionnat pour garçons en 1949.

Les Profs (2013)

Le lycée Jules-Ferry n'affiche que 12 % de réussite au baccalauréat, ce qui fait de lui le pire lycée de France. L'inspecteur d'académie propose alors au proviseur d'engager les pires professeurs, en espérant que, paradoxalement, cela permettra au lycée de dépasser les 50 % de réussite.