J’aime à croire que le 23 septembre 1970, il y a ce jeudi cinquante ans exactement, Louis de Funès, Jean Gabin et Fernandel ont pleuré en apprenant comme nous, le public, le décès de Bourvil.
Bourvil, leur partenaire dans des films qui, ils l’ignoraient, allaient rester dans l’Histoire, résister à l’usure du temps grâce à la magie que leur réunion avait rendus inoxydables.