Plus de quarante ans après, ce film est toujours une affaire juteuse pour le producteur Yves Rousset-Rouard, qui se trouve être le parrain de Christian Clavier, vous le savez probablement.
Ainsi l'homme n'héiste pas à donner des petits coups de main à la troupe de son filleul qui ne gagne pas des fortunes puisqu’elle joue dans une toute petite salle. Mais il ne faut pas croire que cela a été du tout cuit pour elle ; Les Bronzés, le film, n’a fait entre guillemets que 2.200.000 entrées, ce qui pour l’époque n’est pas un triomphe, Les Charlots font deux fois plus. Mais bon, "Parrain" a une idée : il propose à la troupe de tourner immédiatement une suite en leur disant : "cinq millions de gens qui vont aux sports d’hiver, s’ils viennent tous voir le film, là on tient un triomphe".