Allumettes, Montréal et tirelire: l'intégrale de la Nosta Family du 27/11

Ce matin, la Nosta Family démarre la journée en… anglais ! Olivier lance un “Hello everybody, you’re listening to the best show in the world”, ce qui fait hurler de rire Isabelle. Stéphanie, elle, comprend mais ne parle pas trop — du moins, c’est ce qu’Isa affirme. Le trio explique qu’on les écoute partout dans le monde via l’appli : États-Unis, Maroc, Tunisie… et même Montréal, d’où un animateur viendra d’ailleurs la semaine prochaine pour parler radio, différences culturelles… et peut-être poutine, même si Olivier prétend qu’on ne peut pas importer le fromage. Steph confirme en rigolant.

Place ensuite à la battle musicale, avec France, infirmière de nuit à Adrien Laleu, encore en plein service. Elle hésite, mais finit par choisir Patrick Bruel – Qui a le droit, qu’elle chantait à l’époque dans le public en criant “Patrick !”. L’occasion de saluer tous les soignants qui écoutent l’émission sur leurs horaires décalés.

À 6h15, c’est Brice qui débarque avec une invention majeure : l’allumette moderne. On repart en 1826, chez John Walker, pharmacien anglais, qui fait jaillir une flamme en frottant des produits chimiques par accident. De là naît l’allumette à friction, bien plus sûre que les allumettes médiévales ou les briquets au silex. Olivier ne peut pas s’empêcher un petit jeu de mots sur la “pipe”, évidemment. Brice conclut en expliquant que Walker, trop parano pour breveter son idée, se la fera voler. Slate. Une chronique vivante, drôle, et toujours pleine de petites pépites historiques.

La matinée continue avec la surprise du jour : Axel, le fils d’Isabelle, en congé pédagogique, est dans le studio. Très fier, très bavard… et ravi de confirmer à l’antenne que sa maman fait “un grand rototo” le matin. Fou rire général. Olivier ajoute qu’Isa essaie parfois de “garder les rots à l’intérieur”, ce qui résonne encore plus. Le public adore ces moments où la Nosta Family montre son côté vraiment famille, au sens littéral.

On enchaîne avec le Nostalgie Magic Tour, qui démarre la semaine suivante. Olivier, Isa et Stéphanie rappellent l’importance de déposer des jouets en parfait état pour les enfants moins favorisés. L’année dernière, 13 000 jouets ont été collectés pour 8 000 enfants : un geste simple, mais qui crée un vrai sourire. Ils évoquent aussi les petits lamas vendus dans les Dreamland pour soutenir l’ASBL Arc-en-Ciel. Chaque euro compte, et la générosité des auditeurs fait partie de la magie.

Puis vient le Cash ou la boîte, moment culte de la Nosta Family. Aujourd’hui, c’est Elena, maman de deux petites filles, qui joue tout en conduisant vers l’école et la crèche. Olivier commence à 26 €, puis 27, 50, 100, 110… mais rien n’y fait : Elena veut la boîte. Son critère : “À partir de 250 €, on discute.” Le chrono tourne, Olivier grimpe à 120 €, mais elle ne lâche rien. Et là, grand moment : c’est Axel, le fils d’Isa, qui ouvre la boîte. Verdict : 500 € ! Explosion de joie dans le studio. Elena est ravie : les travaux de la maison auront enfin un petit coup de pouce.

Juste après, Isa pose sa question du matin pour l’Info éclair : pourquoi les tirelires sont-elles en forme de cochon ? Laurence, auditrice très calée, apporte la réponse : le mot “pygg” désignait au Moyen Âge une argile dans laquelle on fabriquait des pots à monnaie. Les potiers ont ensuite façonné ces pots en forme de cochon — le “pig” anglais. D’où “piggy bank”. Le cochon symbolisant aussi l’abondance, le hasard a créé l’icône. Une histoire surprenante qui a bien fait rire Olivier.

S’enchaînent ensuite l’horoscope de Serge Ducas, un message d’un auditeur camionneur depuis Lyon, la présentation du cadeau du jour (la nuitée all-in au Mercure de Namur), et l’arrivée du fils d’Isa qui continue de pimenter l’émission de ses interventions spontanées.

La Nosta Family reste fidèle à elle-même : une ambiance chaleureuse, beaucoup d’humour, une proximité totale avec les auditeurs, et la sensation d’être vraiment… une famille.