N Nostalgie
CHRISTOPHE RIPPERT
© ISOPIX

Christophe Rippert (Premiers baisers) raconte sa nouvelle vie

« Je suis retourné à mes premières amours ».

Pendant sept ans, Christophe Rippert a incarné le séduisant Luc, dans la série culte des années 90 Premiers Baisers, puis dans Les Années bleues (1995) et Les Années fac (1998).

De 1991 à 1998, le jeune acteur était le chouchou de ses demoiselles !

Dans un entretien à Télé-Loisirs, il a expliqué ce qu’il était devenu…

20 ans après

S’il a complètement disparu des écrans de télé, Christophe Rippert n’en est pas pour autant malheureux.

Après ses années d’acteur, il est d’abord retourné vers sa passion pour le sport en montant un club de tennis.

Depuis 2002, c’est dans la communication et le digital qu’il s’épanouit, sa société créant des plateformes, sites ou applications pour diverses marques.

"A un moment donné, j’avais fait le tour de mon personnage. Sur les albums, je n’avais plus grand chose à dire, j’étais arrivé au bout. On avait une vie facile, une vie dorée. Peut-être que si j’avais eu un rôle à défendre au cinéma, j'aurais relevé le challenge. Mais on m’a fermé les portes, le cinéma n’était pas prêt à accueillir des gens des séries ou des télé-crochets. Ce n’est pas grave, c’est la vie" a-t-il expliqué.

Profiter de la vie

En couple depuis 5 ans, Christophe compte bien profiter de la vie… et de son chien :

"Je suis trop jeune pour avoir des enfants. A 51 ans, un homme doit réfléchir (il rit). J’ai un petit chien et quand je vois le temps qu’il me prend, je me dis ‘j’ai raison de ne pas avoir d’enfants’. Non, j’ai envie d’en profiter, je n’ai pas du tout l’intention de fonder une famille".

Et le retour de Premiers Baisers ?

Le producteur Jean-Luc Azoulay parlerait sérieusement d’un retour de la série AB.

Et apparemment, Luc pourrait bien être de la partie :

"Si je refais quelque chose, il faut que je puisse me reconnaître, que cela me plaise. J’attends donc de lire le scénario. J’ai tout de même donné un accord de principe pour les épisodes, a priori ce serait six prime-times, car, retrouver mes camarades 30 ans après pour un clin d’œil, si c’est bien écrit et bien filmé, je dis oui ! (…) Mais si on se retrouve, on se retrouve tous, sinon cela n’aurait ni queue ni tête".