Le moment du piano, totalement improvisé
Une scène qui n'aurait pas du exister vu qu'elle a été totalement improvisée.
Lors du tournage, le réalisateur Garry Marshal lui a demandé d'imaginer ce que son personnage ferait pendant son séjour à l'hôtel. Il lui a répondu : "comme je suis généralement en décalage horaire, je reste debout toute la nuit et il y a la plupart du temps une salle de bal quelque part ou un bar, alors je me trouve un piano et je pianote".
Garry Marshall lui a alors dit d'en faire quelque chose : "Nous avons donc improvisé cette scène, et il m'a dit : 'Joue quelque chose de sombre'. J'ai commencé à jouer un morceau qui représentait la vie intérieure d'Edward."
Richard Gere explique que ce moment a contribué à faire avancer l'histoire entre son personnage et Vivian. Celle-ci a en effet découvert son client sous un autre jour. "Elle l'a appréhendé d'une manière complètement différente. Il y avait un désir mystérieux et peut-être quelque chose de brisé chez cet homme qu'elle ne connaissait pas."
"Un tout petit film" sans prétention
A l'époque, l'équipe s'amusait tout simplement à faire "un tout petit film". Sans vraiment savoir si "quelqu'un allait y prêter attention".
34 ans plus tard, on a la réponse. Pretty Woman reste un classique dans la catégorie des comédies romantiques.