L'artiste a créé un nouveau groupe The Chrome Hearts et il part en tournée tout cet été
Les Etats-Unis au cœur de l’actualité…Musicale aussi
Oui avec peut-être les deux artistes les plus virulents contre la politique de Donald Trump. D’un côté vous avez ce cher Neil Young, qui a la chance d’être aussi canadien, ça lui donne une porte de sortie.Il vient de sortir un nouvel album « Talkin To the Trees », parler aux arbres, en français. Il a pris 4 de ses amis, des pointures de studio, pour les emmener à Malibu et enregistrer 10 chansons en quelques jours, mais à l’ancienne, en analogique sur un 16 pistes sans rien de numérique, d’où ce son bien brut. Son nouveau groupe s’appelle « The Chrome Hearts ». Neil Young et sa bande de joyeux papy du rock, lui aura 80 ans cette année, vont partir en tournée et ils seront chez nous à la fin du mois le 30 juin sur la Place des Palais à Bruxelles dans le cadre du « Brussels Palace Open Air'! », à ne pas manquer, sauf peut-être si vous êtes un fan du président parce qu’il risque d’avoir les oreilles qui sifflent.
Un peu comme si vous vous rendez à un concert de Bruce Springsteen en ce moment
Oui lui aussi s’en est fait une spécialité lors de ses concerts et lui aussi est de retour avec de la nouveauté. Vous entendez « Sunday Love » un titre un peu particulier avec des sonorités un peu jazzy et qui fait partie de ces fameux albums perdus. Ici l’album « Twilight Hours ». L’album n’est pas si vieux, il a été écrit et enregistré parallèlement à « Western Stars », sorti en 2019. Le morceau fera partie du fameux coffret « Tracks II : The Lost Albums », collection de sept albums complets jamais publiés, qui sera disponible le 27 juin prochain.
Coffret très attendu puisqu’il annonce plus de 70 inédits
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